Familles d’Accueil
Vous êtes autochtone?
Vous envisagez
de devenir
FAMILLE d’ACCUEIL?
Accueille un enfant d’Opitciwan et aide-le à rester en contact avec sa culture et ses traditions!
Milieu d’urgence
Rémi Awashish
Hélène Petiquay
UN ENFANT D’OPITCIWAN A
BESOIN DE VOUS!
Les services sociaux de la communauté d’Opitciwan ont besoin de plusieurs familles d’accueil qui sont disposées à accueillir un enfant dans leur milieu. Des familles qui vivent des difficultés peuvent avoir besoin que leur enfant soit hébergé, sur des périodes pouvant varier, selon la situation de chaque famille.
Les besoins d’accueil sont ressentis dans la communauté d’Opitciwan, mais également dans les milieux urbains comme Roberval, La Tuque et Trois-Rivières, là ou plusieurs familles atikamekw résident hors-communauté. Peu importe votre lieu de résidence, vous pouvez certainement aider un enfant et par conséquent, sa famille.
Héberger un enfant vous intéresse? La section qui suit peut répondre à plusieurs de vos questions. Par la suite, n’hésitez pas à nous contacter si d’autres questionnements persistent.
Retenez une chose importante : devenir famille d’accueil avec nous, c’est simple!
Pour plus d'informations, contactez-nous !
Questions & réponses
Les enfants membres de la bande de la communauté d’Opitciwan en Haute-Mauricie qui habitent la communauté ou un milieu urbain hors communauté.
Non, il y a des besoins de familles d’accueil en milieu urbain près des grands centres comme Roberval, Chicoutimi, La Tuque et Trois-Rivières.
Non, Il est toutefois possible que des déplacements soient requis pour des soins pour l’enfant accueilli, mais ceux-ci peuvent se faire dans votre région, près de chez vous. Si des déplacements sont requis sur une longue distance, ils ne vous sont pas imposés, ils sont pris en charge par les services sociaux d’Opitciwan.
Oui, la plupart des enfants maitrisent le français et des ressources sont en soutien si c’est nécessaire. Il n’est pas du tout nécessaire de maitriser la langue atikamekw pour devenir milieu d’accueil.
Les services sociaux de la communauté d’Opitciwan qui encadrent la Loi de la Protection Sociale Atikamekw d’Opitciwan (LPSAO), nouvelle loi en vigueur depuis le 17 janvier 2022.
Non, la LPSAO est une loi adoptée par le Conseil Atikamekw d’Opitciwan qui permet aux services sociaux d’avoir une pleine et totale autonomie face à la DPJ.
Ce sont des familles d’accueil autochtones qui sont recherchées, car la Loi de la Protection Sociale Atikamekw d’Opitciwan (LPSAO) met l’emphase sur la continuité culturelle de l’enfant. Des milieux allochtones peuvent accueillir un enfant, mais uniquement lorsqu’il y a absence de milieux autochtones, donc, de manière exceptionnelle.
Oui, lors de la rencontre-contact avec un milieu d’accueil potentiel, il est très important que les postulants indiquent leurs préférences et leurs limitent face aux enfants pouvant être accueillis. Rien n’est imposé.
Un milieu d’accueil peut agir en urgence ou de courte durée (de 48 heures à 30 jours). Il est aussi possible qu’un placement s’effectue sur plusieurs mois (placement régulier) mais également, et de manière exceptionnelle, sur plusieurs années (long terme).
Non, plusieurs critères sont différents de la DPJ provinciale et l’ensemble de l’évaluation est orientée vers la motivation, l’engagement et la volonté de protéger l’intérêt de l’enfant, d’assurer la continuité culturelle ainsi que l’égalité réelle. Une rencontre est effectuée et l’approche humaine est priorisée.
Non, l’important est que le milieu d’accueil soit sécuritaire et propice au sain développement de l’enfant accueilli.
Non, les enfants en besoin d’un milieu d’accueil ne démontrent pas nécessairement de problèmes de comportements, toutefois, il est important de savoir qu’un enfant a besoin d’une période pour s’adapter à un nouveau milieu et vit des insécurités et craintes normales dans sa situation. Des équipes agissent en interventions pour assurer un soutien à l’enfant, à sa famille et à son milieu d’accueil.
